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« BAR-LE-DUC
à voir & à vivre »
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Pourquoi ne pas faire une halte à Haguenau entre Strasbourg, l’Alsace du Nord et ses villages aux maisons à colombages comme Hunspach « village préféré des français en 2020 ».
Cette ville est injustement oubliée des circuits touristiques. Elle abrite notamment un musée aux collections originales qui devrait passionner tous les amateurs de voyage : le MUSÉE DU BAGAGE.
Il n’y a pas de voyage, de déplacement d’hommes sans qu’ils emportent avec eux un bagage.
Que ce soit un balluchon, un sac, une valise voire une malle, le voyageur emportera dans son déplacement le strict nécessaire ou au contraire de multiples affaires selon ce qui lui parait utile voire indispensable.
A Haguenau au nord de l’Alsace un couple admiratif de la créativité et du savoir-faire des malletiers a réuni une exceptionnelle collection de bagages des XIXème et XXème siècles , unique en Europe, qui a conduit à l’ouverture du « Musée du bagage ».
Une collection exceptionnelle
Le mode de déplacement utilisé conditionne l’importance des objets et effets qui l’accompagnent. Le marcheur ne sera pas aussi chargé que le passager d’un transatlantique.
Il en est de même de l’objectif et de la durée du voyage. Qu’on parte pour un long séjour ou seulement un bref weekend, le type de bagages ne sera pas le même.
Du contenu dépend le contenant et vice et versa.
Enfin le mode de vie du voyageur joue également son rôle.
A chaque époque et à chaque classe sociale ses bagages. Ils sont révélateurs des modes de vie et de la sociologie de leur époque.
Chaque bagage raconte donc l’histoire de son propriétaire, qui peut être célèbre ou anonyme, et de son époque. Tous nous apprennent quelque chose.
Chaque bagage par ses caractéristiques techniques et ses qualités esthétiques révèle aussi l’ingéniosité et le savoir-faire de l’industriel ou de l’artisan.
La reconstitution d’un atelier de malletier permet de percer un peu les mystères de leur fabrication.
Sont ainsi réunis à Haguenau de la simple sacoche aux réalisations ingénieuses et même artistiques des plus grands faiseurs : LOUIS VUITON, GOYARD ou encore MOYNAT…
UNE RECONVERSION A 180°
Entre l’informatique et un métier de l’artisanat d’art il existe un fossé que Jean-Philippe ROLLAND n’a pas hésité, soutenu par son épouse Marie, à franchi.
« Lassé par l’obsolescence quasi instantanée de mon travail, j’ai voulu me consacrer à sauver ou créer des objets qui traversent les temps » explique-t-il.
Passionné par le travail du bois et par les objets qu’il permet de créer, Il a abandonné les algorithmes pour se consacrer au travail minutieux et inventif du malletier.
Suprême reconnaissance, son atelier de fabrication et de réparation de malles a été consacré « entreprise du patrimoine vivant ».
Mais un amoureux des objets passant entre ses mains ne pouvait pas être également collectionneur.Avec une prédilection première, par tradition familiale, pour la période napoléonienne, il a commencé à rassembler des bagages de cette époque. Mais rapidement ses champs de recherche se sont élargis jusqu’à nos jours.
Ce sont des centaines de bagages du plus simple au plus sophistiqués que lui et Marie ont réunis.
En vrais collectionneurs Jean-Philippe et Marie ROLLAND ne pouvaient que vouloir partager avec tous leur passion.
Ainsi est né en 2016 le Musée du bagage.
DES OBJETS INSOLITES ET EXCEPTIONNELS
Si la collection, dans un souci d’exhaustivité et de pédagogie comporte des objets du quotidien, elle renferme aussi des créations qui par leur destination, leur réalisation ou leur propriétaire sortent de l’ordinaire et sont de véritables objets artistiques ou historiques.
Parmi les 200 bagages présentés, l’œil du visiteur sera attiré par la malle safari qui permettait d’emporter avec soi 80 ustensiles du quotidien du lavabo à la salière dans les contrées les plus lointaines qui rappelle l’époque où la cour allant de châteaux en châteaux faisait suivre tout son mobilier.
Comment ne pas citer ce lit de voyage conçu pour un explorateur soucieux de son confort et peut-être d’éviter de voir son sommeil troublé par quelques insectes ou reptile rampants.
Ou encore cette malle permettant à la cantatrice Lily Pons de ne pas être séparée de ses trente paires de chaussures !
Crédit photographique : Musée du bagage
Le MUSÉE DU BAGAGE
5, rue Saint-Georges
67500 HAGUENAU
Ouvert du mercredi au dimanche
Denis ATZENHOFFER
Le Mans n’est pas qu’une histoire de 24 heures ni de bruits de moteur, c’est aussi depuis plus de huit siècles le berceau de la plus belle cathédrale de France si l’on en croit le concours organisé par Henoo.
Osons la Sarthe en février
A proximité de Paris, de Rennes, Angers en quelques heures vous voilà devant la plus belle Cathédrale de France. Tout est à découvrir : son histoire et son architecture, ses vitraux et le plus vieux vitrail du monde datant du XIIe et encore là en place dans la cathédrale.
La chapelle ornée de 47 anges musiciens. Un trésor patrimonial à découvrir ou re découvrir.
Le trésor de la ville du Mans : La Cathédrale Saint Julien
Érigée au XIe siècle, cette cathédrale moitié romane moitié gothique est un chef-d’œuvre d’ingénierie médiévale. Ses imposantes voûtes, ses arcs élancés de style gothique, Plantagenêt et ses sublimes vitraux captivent l’âme des visiteurs, et offrent une expérience unique où l’art et la foi se mêlent harmonieusement. La délicatesse des sculptures qui ornent ses façades, ainsi que la finesse des détails architecturaux, témoignent du savoir-faire exceptionnel des artisans qui ont œuvré à sa construction. Sa silhouette élancée se profile fièrement dans le ciel, offrant un rappel constant de la richesse culturelle et spirituelle de cette région. Un véritable trésor du patrimoine français.
Sarthe tourisme invite au dépaysement autour de la Cathédrale :
Hôtel Leprince – spa
Hôtel 4 étoiles situé au sein de l’ancien couvent de la Visitation, au cœur de la ville du Mans, Leprince Hôtel et Spa offre aux voyageurs un véritable voyage dans le temps qui les projette au cœur d’un univers raffiné dans un lieu unique et chargé d’histoire bâti au XVIIIe siècle. Le petit plus : le spa propose également une prestation coiffure réalisée par le célèbre coiffeur Raphael Perrier, qui fut meilleur ouvrier de France à seulement 18 ans et qui intervient ponctuellement pour des cérémonies comme les « NRJ Music Awards » ou encore l’émission « The Voice ».
Contact presse
Alycia Jonot – 01 55 02 15 02
a.jonot@open2europe.com
Camille Iparraguirre – 01 55 02 15 29
c.iparraguirre@open2europe.com
Marin Montagut !! Incorrigible romantique à l’imagination fertile et « amoureux de l’amour » !
Il est allé jusqu’à développer un concept « rue de l’Amour », rue madame ! Quasiment une déclaration d’amour permanente.
Voilà le rendez-vous incontournable des amoureux de Paris, des amoureux tout simplement. Tout droit sortie de l’imaginaire romantique de Marin Montagut, cette rue forte en symbolique est bien plus qu’une déclaration. Elle est tout simplement le rendez-vous des amoureux de Paris, des amoureux de l’amour.
Une collection personnalisée.
La collection se décline en ramequin, coupelle, assiette, tasse ou vase pour dire je t’aime à l’entre aimé(e).
Marin Montagut a également développé une collection de verrerie personnalisée peinte à la main dans ses ateliers à Paris, pour écrire le nom de la rue où l’on s’est embrassé pour la premiére fois…
Un véritable artisan de l’amour !
Marin Montagut travaille chacun de ses modèles d’art de la table en s’inspirant de la française d’antan. La porcelaine, d’une rare finesse, est fabriquéé en porcelaine émaillée. Tout droit sortie de l’imaginaire romantique de Marin Montagut, cette rue forte en symbolique est bien plus qu’une déclaration. Elle crée le rendez-vous des amoureux de Paris, des amoureux de l’amour.
Un artisan fidèle aux traditions ancestrales
Tout est fait à la main, dans les ateliers de Marin Montagut.
Marin Montagut travaille chacun de ses modèles d’art de la table en s’inspirant de la vaisselle française d’antan. La porcelaine, d’une rare finesse, est confectionnée en porcelaine emmaillée. Chaque modèle est réalisé à la main, avec le savoir- faire ancestral des moules en plâtre.
Rendez-vous le 14 février RUE DE L’AMOUR
Au 48 rue Madame 75006 Paris
Contact presse
Alexandra Teyssier d’orfeuil 06 08 02 53 08 alexandra.tdo@agencefoodforthought.com
Hayat R’ghif-Bassoul 07 83 67 51 63 hayat.rgb@agencefoodforthought.com
www.agencefoodforthought.com – @foodforthought_pr
Bien-Etre et découverte, ces deux mots viennent à l’esprit lorsque l’on réside au Domaine des Remparts. Bien-être dès l’accueil simple et souriant, découverte ensuite lorsqu’on s’intéresse aux nombreuses activités que propose ce lieu de sérénité.
L’actuel propriétaire, M.SLAOUI, a repris la gestion de l’établissement il y a simplement trois ans, avec un objectif affirmé, en faire une référence Bien-être à Marrakech. Pour lui, le visiteur doit avant tout se sentir chez lui, en accord avec le lieu et le personnel. M.SLAOUI lui même est d’ailleurs très souvent sur place avec disponibilité, ouverture et décontraction.
Un hôtel à taille humaine
Réparties de plain pied autour du parc et des deux piscines (dont une chauffée) les 32 chambres sont à la hauteur des ambitions de l’Hôtel, très spacieuses et confortables, ouvertes sur la verdure et les oliviers centenaires. La journée de détente à l’hôtel s’organise autour des piscines, avec un déjeuner léger au restaurant de plein air et, selon les goûts, des activités variées: un temps au spa/massage bien entendu mais aussi à la salle de sports, au tennis, au golf ou pourquoi pas un cours de Yoga? L’hôtel propose aussi pour les papilles gourmandes, des cours de mixologie et de cuisine marocaine, le chef du restaurant principal, le Tibipt, s’impliquant d’ailleurs régulièrement dans ces cours. Pour le soir, une table au coin de la cheminée et la cuisine du chef mettent un point d’orgue à ces journées qui s’écoulent tranquillement sous le soleil du Maroc.
Quelques instants avec Abdallah Slaoui, propriétaire de l’hôtel.
L’oeil vif et le sourire sincère, Abdallah Slaoui s’est lancé tout récemment dans l’hôtellerie de luxe, après une carrière dans l’immobilier. Marocain d’origine, cet autodidacte de l’hôtellerie, comme il se définit lui-même, a un sens aigu des attentes de sa clientèle, perception probablement acquise lors de ses nombreux séjours en Europe et USA. « C’est une nouvelle aventure, que nous avons abordée d’un oeil neuf. Mon épouse Jalila s’est intégralement chargée de la décoration, réalisée avec les artisans locaux. Je souhaite bien sûr que l’hôtel soit magnifique et que service soit irréprochable, mais je souhaite surtout que les visiteurs se sentent chez eux, dans le raffinement simple et la relation sincère ». Abdallah est probablement un propriétaire atypique, il n’est pas rare de le voir en bord de piscine ou au restaurant discuter tranquillement avec ses hôtes. Sa simplicité conviviale et chaleureuse donne le ton et semble imprégner chaque recoin du Domaine des Remparts.
Marrakech, une ville entre désert et fourmillement urbain.
Tout pour éveiller les découvreurs… le Domaine des Remparts dispose pour cela de rotations de navettes vers la médina et propose des excursions et séjours dans le désert.
Le foisonnement de la médina et l’atelier de Stella Cadente:
Le cœur historique de Marrakech est entouré d’une muraille continue, percée de plusieurs portes parfois monumentales. C’est un ensemble de rues tortueuses qui débouchent sur plusieurs places dont la plus célèbre est la place Jema El Fna. La densité de petits commerçants et d’artisans en tous genres est impressionnante et on a coutume de dire que dans la médina, on trouve tout et on peut tout faire! Le souk s’étend dans la majorité des ruelles, ce mot désigne traditionnellement le lieu consacré au commerce, particulièrement actif à Marrakech.
C’est en bordure de la Médina, que Stella Cadente, française d’origine, a établi l’une de ses boutiques. Cette créatrice de mode et décoratrice d’intérieur est arrivée au Maroc il y a une dizaine d’années, attirée par le savoir faire local, la facilité de création, et le dynamisme du secteur déco/ mode. En s’appuyant sur quatre ateliers locaux, céramique, broderie, passementerie et mode, elle produit vêtements, accessoires et bijoux, tous marqués d’une séduisante originalité. Par ailleurs, Stella et le photographe et décorateur Florian Claudel, réalisent une série d’aménagements et décorations d’hôtels de luxe, essentiellement en Europe. A Marrakech, Stella et Florian se sont installés dans le quartier Dar el Bacha. Leur Riad comprend une exposition permanente sur deux étages où l’on retrouve l’univers de la créatrice dans une déco originale sur fond bleu Majorelle. Le troisième étage est occupé par un restaurant en terrasse qui sert en particulier un excellent couscous au légumes.
Bleu et vert au Jardin Majorelle
Créé par le peintre français Jacques Majorelle dans les années 1930, ce jardin de près d’un hectare a la luxuriance d’un jardin tropical. Blottie dans cette profusion d’essences, se niche l’ancienne maison du peintre: de style mauresque/art deco, elle a abrité aussi son atelier. En 1937, l’artiste crée le Bleu Majorelle, couleur intense dont il couvre sa maison puis les constructions du jardin. Jacques Majorelle meurt le 14 Octobre 1962 et le jardin est alors laissé à l’abandon jusqu’en 1966, date à laquelle Yves Saint Laurent et Pierre Bergé le découvrent puis l’achètent quatre ans plus tard. Dès lors, les nouveaux propriétaires habitent la villa rebaptisée Villa Oasis et le jardin reprend vie. En 2008, à la disparition d’Yves Saint Laurent, ses cendres sont dispersées dans la roseraie où un mémorial est implanté. Quelques années plus tard, l’atelier du rez-de- chaussée accueille le remarquable musée Berbère ainsi qu’une exposition de créations de haute couture issues de la collection Saint Laurent. Aujourd’hui le jardin Majorelle, le musée Berbère et l’exposition de haute composent l’un des sites les plus touristiques de Marrakech avec 600 000 visiteurs par an.
Une évocation Berbère :
Objets de nombre de mythes et légendes, les Berbères sont les plus anciens habitants de l’Afrique du Nord, unis depuis 9000 ans par leur culture et leur langue. Ils ont, au fil des siècles, créé des communautés tribales et des royaumes souvent belliqueux mais toujours appuyés sur le lien à la terre, le sens de la communauté, l’hospitalité et le rapport au sacré. Autrefois écrite, la langue Berbère est aujourd’hui essentiellement orale. Parlée par une bonne partie des marocains, elle cristallise parfois les revendications et les passions dans le pays. La reconnaissance récente du monde Berbère semble augurer d’une certaine préservation de cette culture pour l’avenir.
A Marrakech, dans le cadre de verdure du Jardin de Majorelle, le musée Pierre Bergé des Arts Berbère offre un large panorama de ce qui constitue cette culture, en particulier sa créativité avec plus de 600 objets collectionnés par Pierre Bergé et Yves Saint Laurent.
Un petit tour dans le désert :
Empreint de légendes et de mystère, le désert ne s’apprivoise pas facilement, il demande du temps… Toutefois, au cours d’un séjour à Marrakech on peut en avoir un bon aperçu: citons deux destinations, qui figurent dans les propositions de l’Hôtel Domaine des Remparts.
Un petit tour de la journée est possible au Désert d’Agafay : situé à une quarantaine de kilomètres seulement de Marrakech, ce désert de pierres offre un paysage aride bordé au loin par l’Atlas qui se découpe sur l’horizon. Une étonnante petite oasis, l’Oasis Enchantée, se niche dans un creux de vallée le long d’un oued et fait une tache de verdure bienvenue dans ce paysage. Sur la route dégradée qui mène au désert, il faut longer pendant une bonne dizaine de kilomètres les baraques qui proposent des excursions en quad pour trouver un début de sérénité. Passer la nuit dans le désert d’Agafay est sûrement une option à retenir pour une première approche. Au bout d’une piste un peu difficile par endroits, se trouve notamment le campement Scarabeo 2. (Attention, deux campements portent le même nom, mais il vaut mieux opter pour le plus éloigné de Marrakech, qui est plus isolé). Quelques tentes confortables permettent de profiter des derniers rayons du soleil, dîner et passer la nuit en contact avec le désert, les étoiles et le silence.
Beaucoup plus loin de Marrakech, à quelque 50km d’Erfoud, les hautes dunes de sable de l’Erg Cherbi voisinent avec le petit village de Merzouga, point de départ du tourisme d’aventure au Maroc. Le paysage époustouflant répond aux attentes des amateurs de désert: des dunes de sable fin jusqu’à l’horizon, le tout baigné d’une couleur jaune orangée accentuée le soir par le coucher du soleil. Des dromadaires sereins parcourent les dunes, conduits par les Sahraouis, les
« hommes bleus » qui portent leur fameux et très repérable cheikh bleu indigo.
Au village de Merzouga, il suffit de s’adresser aux nombreuses boutiques pour avoir une idée des possibilités d’excursions en tous genres. Simple balade de la journée, ou bien séjour sous des tentes de luxe en plein désert, les idées ne manquent pas. Certains bivouacs sont établis non loin du village (une quinzaine de minutes à dos de chameau), d’autres sont plus éloignés mais en règle générale, le confort est au rendez vous.
« Cristobal Balenciaga » la nouvelle série originale de Disney+ inspirée par la vie et l’œuvre du couturier espagnol, met en lumière la carrière flamboyante de l’un des plus iconiques créateurs de mode de tous les temps.
Le destin d’un espagnol à Paris
« Bien qu’il soit considéré par beaucoup comme le plus grand couturier de l’histoire, peu de figures du XXe siècle sont aussi secrètes que Cristobal Balenciaga. Il se laissait rarement photographier et l’accès à son atelier et à ses défilés était très restreint » déclare le trio de réalisateurs Aito Arregi, Jon Garafio et Jose Goenaga, à l’origine de cette série sur une idée de sa créatrice Lourdes Iglesias. « Cristobal Balenciaga » a été filmé sur 90 plateaux en Espagne, entre le Pays Basque, la Navarre et Madrid. Mais aussi en France, entre Paris, Bordeaux et Toulouse.
L’un des plus grands créateurs de mode de tous les temps
La série commence au moment précis où Cristobal Balenciaga présente sa première collection de Haute Couture parisienne en 1937. Il a laissé derrière lui la brillante carrière débutée dans ses ateliers de Madrid et de San Sebastian, où il habillait l’élite de la société espagnole. Mais les tenues qui lançaient les tendances en Espagne ne rencontrent pas le même succès à Paris, capitale de la mode et de la sophistication où Chanel, Dior et Givenchy sont les références en matière de Haute Couture. Guidé par le besoin obsessionnel de contrôler tous les aspects de sa vie, Cristobal Balenciaga va définir son style et devenir l’un des plus grands créateurs de mode de tous les temps.
Gabrielle Lazure dans le rôle de Carmel Snow
« Cristobal Balenciaga » compte sur une magnifique distribution d’acteurs et d’actrices internationaux, avec à leur tête Alberto San Juan dans le rôle de Cristobal Balenciaga, Anouk Grinberg dans celui de Coco Chanel, Nine D’Urso dans celui du mannequin Colette et Gabrielle Lazure dans celui de Carmel Snow, une célèbre journaliste de mode connue pour son travail au sein du magazine Harper’s Bazaar. C’est Carmel Snow qui a proclamé Cristobal Balenciaga « couturier du moment et du futur » et qui a baptisé « New Look » la plus célèbre collection du couturier Christian Dior. Gabrielle Lazure apparaît en Carmel Snow à deux moments forts de la série, à la fin des années quarante, puis vingt ans après à l’approche des années soixante.
Au fil de ses six épisodes, cette série de Disney+ nous montre avec une approche psychologique la grande importance que Balenciaga a eue et a encore aujourd’hui dans le monde de la mode.
Infos Pratiques
« CRISTOBAL BALENCIAGA » est disponible en exclusivité sur Disney+. Ce biopic de six épisodes, créé par la scénariste Lourdes Iglesias, entourée des trois réalisateurs Aitor Arregi, Jon Garano et Jose Mari Goenaga, s’inspire de la vie et de l’œuvre du célèbre couturier espagnol à partir de 1937, date à laquelle il a présenté sa première collection dans la capitale française. Photos ©David Herranz.
Didier Galibert